ARK NETWORK reference.ch · populus.ch    
 
  
La vie qui sommeille en toi 
 
 
Rubriques

Liens

 Home  | Livre d'Or  | Album-Photo  | Contact

Dieu est Amour

Au nom d'Allah le compatissant, le tout miséricordieux, unique en Moustapha. 
Gloire au créateur de l'ordre, et louange à l'ordre créateur. 
 
Seul connait la valeur du coran, celui qui y a goutté, qui en a contemplé la demeure initiatique comme un état intérieur, et à qui le Réel parle en lui projetant des versets sur l'intimité de son être. 
 
LE DIEU D'ALPHONSE DE LARMATINE 
 
Dieu 
 
Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes : 
Déposant le fardeau des misères humaines, 
Laissant errer mes sens dans ce monde des corps, 
Au monde des esprits je monte sans efforts. 
Là, foulant à mes pieds cet univers visible, 
Je plane en liberté dans les champs du possible, 
Mon âme est à l'étroit dans sa vaste prison : 
Il me faut un séjour qui n'ait pas d'horizon. 
Comme une goutte d'eau dans l'Océan versée, 
L'infini dans son sein absorbe ma pensée ; 
Là, reine de l'espace et de l'éternité, 
Elle ose mesurer le temps, l'immensité, 
Aborder le néant, parcourir l'existence, 
Et concevoir de Dieu l'inconcevable essence. 
Mais sitôt que je veux peindre ce que je sens, 
Toute parole expire en efforts impuissants. 
Mon âme croit parler, ma langue embarrassée 
Frappe l'air de vingt sons, ombre de ma pensée. 
Dieu fit pour les esprits deux langages divers : 
En sons articulés l'un vole dans les airs ; 
Ce langage borné s'apprend parmi les hommes, 
Il suffit aux besoins de l'exil où nous sommes, 
Et, suivant des mortels les destins inconstants 
Change avec les climats ou passe avec les temps. 
L'autre, éternel, sublime, universel, immense, 
Est le langage inné de toute intelligence : 
Ce n'est point un son mort dans les airs répandu, 
C'est un verbe vivant dans le coeur entendu ; 
On l'entend, on l'explique, on le parle avec l'âme ; 
Ce langage senti touche, illumine, enflamme; 
De ce que l'âme éprouve interprètes brûlants, 
Il n'a que des soupirs, des ardeurs, des élans ; 
C'est la langue du ciel que parle la prière, 
Et que le tendre amour comprend seul sur la terre. 
Aux pures régions où j'aime à m'envoler, 
L'enthousiasme aussi vient me la révéler. 
Lui seul est mon flambeau dans cette nuit profonde, 
Et mieux que la raison il m'explique le monde. 
Viens donc ! Il est mon guide, et je veux t'en servir. 
A ses ailes de feu, viens, laisse-toi ravir ! 
Déjà l'ombre du monde à nos regards s'efface, 
Nous échappons au temps, nous franchissons l'espace. 
Et dans l'ordre éternel de la réalité, 
Nous voilà face à face avec la vérité ! 
Cet astre universel, sans déclin, sans aurore, 
C'est Dieu, c'est ce grand tout, qui soi-même s'adore ! 
Il est ; tout est en lui : l'immensité, les temps, 
De son être infini sont les purs éléments ; 
L'espace est son séjour, l'éternité son âge ; 
Le jour est son regard, le monde est son image ; 
Tout l'univers subsiste à l'ombre de sa main ; 
L'être à flots éternels découlant de son sein, 
Comme un fleuve nourri par cette source immense, 
S'en échappe, et revient finir où tout commence. 
Sans bornes comme lui ses ouvrages parfaits 
Bénissent en naissant la main qui les a faits ! 
Il peuple l'infini chaque fois qu'il respire ; 
Pour lui, vouloir c'est faire, exister c'est produire ! 
Tirant tout de soi seul, rapportant tout à soi, 
Sa volonté suprême est sa suprême loi ! 
Mais cette volonté, sans ombre et sans faiblesse, 
Est à la fois puissance, ordre, équité, sagesse. 
Sur tout ce qui peut être il l'exerce à son gré ; 
Le néant jusqu'à lui s'élève par degré : 
Intelligence, amour, force, beauté, jeunesse, 
Sans s'épuiser jamais, il peut donner sans cesse, 
Et comblant le néant de ses dons précieux, 
Des derniers rangs de l'être il peut tirer des dieux ! 
Mais ces dieux de sa main, ces fils de sa puissance, 
Mesurent d'eux à lui l'éternelle distance, 
Tendant par leur nature à l'être qui les fit; 
Il est leur fin à tous, et lui seul se suffit ! 
Voilà, voilà le Dieu que tout esprit adore, 
Qu'Abraham a servi, que rêvait Pythagore, 
Que Socrate annonçait, qu'entrevoyait Platon ; 
Ce Dieu que l'univers révèle à la raison, 
Que la justice attend, que l'infortune espère, 
Et que le Christ enfin vint montrer à la terre ! 
Ce n'est plus là ce Dieu par l'homme fabriqué, 
Ce Dieu par l'imposture à l'erreur expliqué, 
Ce Dieu défiguré par la main des faux prêtres, 
Qu'adoraient en tremblant nos crédules ancêtres. 
Il est seul, il est un, il est juste, il est bon ; 
La terre voit son oeuvre, et le ciel sait son nom ! 
Heureux qui le connaît ! plus heureux qui l'adore ! 
Qui, tandis que le monde ou l'outrage ou l'ignore, 
Seul, aux rayons pieux des lampes de la nuit, 
S'élève au sanctuaire où la foi l'introduit 
Et, consumé d'amour et de reconnaissance, 
Brûle comme l'encens son âme en sa présence ! 
Mais pour monter à lui notre esprit abattu 
Doit emprunter d'en haut sa force et sa vertu. 
Il faut voler au ciel sur des ailes de flamme : 
Le désir et l'amour sont les ailes de l'âme. 
Ah ! que ne suis-je né dans l'âge où les humains, 
Jeunes, à peine encore échappés de ses mains, 
Près de Dieu par le temps, plus près par l'innocence, 
Conversaient avec lui, marchaient en sa présence ? 
Que n'ai-je vu le monde à son premier soleil ? 
Que n'ai-je entendu l'homme à son premier réveil ? 
Tout lui parlait de toi, tu lui parlais toi-même ; 
L'univers respirait ta majesté suprême ; 
La nature, sortant des mains du Créateur, 
Etalait en tous sens le nom de son auteur; 
Ce nom, caché depuis sous la rouille des âges, 
En traits plus éclatants brillait sur tes Ouvrages ; 
L'homme dans le passé ne remontait qu'à toi ; 
Il invoquait son père, et tu disais : C'est moi. 
Longtemps comme un enfant ta voix daigna l'instruire, 
Et par la main longtemps tu voulus le conduire. 
Que de fois dans ta gloire à lui tu t'es montré, 
Aux vallons de Sennar, aux chênes de Membré, 
Dans le buisson d'Horeb, ou sur l'auguste cime 
Où Moïse aux Hébreux dictait sa loi sublime ! 
Ces enfants de Jacob, premiers-nés des humains, 
Reçurent quarante ans la manne de tes mains 
Tu frappais leur esprit par tes vivants oracles ! 
Tu parlais à leurs yeux par la voix des miracles ! 
Et lorsqu'ils t'oubliaient, tes anges descendus 
Rappelaient ta mémoire à leurs coeurs éperdus ! 
Mais enfin, comme un fleuve éloigné de sa source, 
Ce souvenir si pur s'altéra dans sa course ! 
De cet astre vieilli la sombre nuit des temps 
Eclipsa par degrés les rayons éclatants ; 
Tu cessas de parler; l'oubli, la main des âges, 
Usèrent ce grand nom empreint dans tes ouvrages ; 
Les siècles en passant firent pâlir la foi ; 
L'homme plaça le doute entre le monde et toi. 
Oui, ce monde, Seigneur, est vieilli pour ta gloire ; 
Il a perdu ton nom, ta trace et ta mémoire 
Et pour les retrouver il nous faut, dans son cours, 
Remonter flots à flots le long fleuve des jours ! 
Nature ! firmament ! l'oeil en vain vous contemple ; 
Hélas ! sans voir le Dieu, l'homme admire le temple, 
Il voit, il suit en vain, dans les déserts des cieux, 
De leurs mille soleils le cours mystérieux ! 
Il ne reconnaît plus la main qui les dirige ! 
Un prodige éternel cesse d'être un prodige ! 
Comme ils brillaient hier, ils brilleront demain ! 
Qui sait où commença leur glorieux chemin ? 
Qui sait si ce flambeau, qui luit et qui féconde, 
Une première fois s'est levé sur le monde ? 
Nos pères n'ont point vu briller son premier tour 
Et les jours éternels n'ont point de premier jour. 
Sur le monde moral, en vain ta providence, 
Dans ces grands changements révèle ta présence ! 
C'est en vain qu'en tes jeux l'empire des humains 
Passe d'un sceptre à l'autre, errant de mains en mains ; 
Nos yeux accoutumés à sa vicissitude 
Se sont fait de ta gloire une froide habitude ; 
Les siècles ont tant vu de ces grands coups du sort : 
Le spectacle est usé, l'homme engourdi s'endort. 
Réveille-nous, grand Dieu ! parle et change le monde ; 
Fais entendre au néant ta parole féconde. 
Il est temps ! lève-toi ! sors de ce long repos ; 
Tire un autre univers de cet autre chaos. 
A nos yeux assoupis il faut d'autres spectacles ! 
A nos esprits flottants il faut d'autres miracles ! 
Change l'ordre des cieux qui ne nous parle plus ! 
Lance un nouveau soleil à nos yeux éperdus ! 
Détruis ce vieux palais, indigne de ta gloire ; 
Viens ! montre-toi toi-même et force-nous de croire ! 
Mais peut-être, avant l'heure où dans les cieux déserts 
Le soleil cessera d'éclairer l'univers, 
De ce soleil moral la lumière éclipsée 
Cessera par degrés d'éclairer la pensée ; 
Et le jour qui verra ce grand flambeau détruit 
Plongera l'univers dans l'éternelle nuit. 
Alors tu briseras ton inutile ouvrage : 
Ses débris foudroyés rediront d'âge en âge : 
Seul je suis ! hors de moi rien ne peut subsister ! 
L'homme cessa de croire, il cessa d'exister ! 
 
LAMARTINE 
 
L'esprit de Dieu 
 
Le feu divin qui nous consume 
Ressemble à ces feux indiscrets 
Qu'un pasteur imprudent allume 
Aux bord de profondes forêts; 
Tant qu'aucun souffle ne l'éveille, 
L'humble foyer couve et sommeille ; 
ais s'il respire l'aquilon, 
Tout à coup la flamme engourdie 
S'enfle, déborde; et l'incendie 
Embrase un immense horizon ! 
 
O mon âme, de quels rivages 
Viendra ce souffle inattendu ? 
Serait-ce un enfant des orages ? 
Un soupir à peine entendu ? 
Viendra-t-il, comme un doux zéphyre, 
ollement caresser ma lyre, 
Ainsi qu'il caresse une fleur ? 
Ou sous ses ailes frémissantes, 
Briser ses cordes gémissantes 
Du cri perçant de la douleur ? 
 
Viens du couchant ou de l'aurore ! 
Doux ou terrible au gré du sort, 
Le sein généreux qui t'implore 
Brave la souffrance ou la mort ! 
Aux coeurs altérés d'harmonie 
Qu'importe le prix du génie ? 
Si c'est la mort, il faut mourir !... 
On dit que la bouche d'Orphée, 
Par les flots de l'Ebre étouffée, 
Rendit un immortel soupir ! 
 
ais soit qu'un mortel vive ou meure, 
Toujours rebelle à nos souhaits, 
L'esprit ne souffle qu'à son heure, 
Et ne se repose jamais ! 
Préparons-lui des lèvres pures, 
Un oeil chaste, un front sans souillures, 
Comme, aux approches du saint lieu, 
Des enfants, des vierges voilées, 
Jonchent de roses effeuillées 
La route où va passer un Dieu ! 
 
Fuyant des bords qui l'ont vu naître, 
De Jéthro l'antique berger 
Un jour devant lui vit paraître 
Un mystérieux étranger ; 
Dans l'ombre, ses larges prunelles 
Lançaient de pâles étincelles, 
Ses pas ébranlaient le vallon ; 
Le courroux gonflait sa poitrine, 
Et le souffle de sa narine 
Résonnait comme l'aquilon ! 
 
Dans un formidable silence 
Ils se mesurent un moment ; 
Soudain l'un sur l'autre s'élance, 
Saisi d'un même emportement : 
Leurs bras menaçants se replient, 
Leurs fronts luttent, leurs membres crient, 
Leurs flancs pressent leurs flancs pressés ; 
Comme un chêne qu'on déracine 
Leur tronc se balance et s'incline 
Sur leurs genoux entrelacés ! 
 
Tous deux ils glissent dans la lutte, 
Et Jacob enfin terrassé 
Chancelle, tombe, et dans sa chute 
Entraîne l'ange renversé : 
Palpitant de crainte et de rage, 
Soudain le pasteur se dégage 
Des bras du combattant des cieux, 
L'abat, le presse, le surmonte, 
Et sur son sein gonflé de honte 
Pose un genou victorieux ! 
 
ais, sur le lutteur qu'il domine, 
Jacob encor mal affermi, 
Sent à son tour sur sa poitrine 
Le poids du céleste ennemi !... 
Enfin, depuis les heures sombres 
Où le soir lutte avec les ombres, 
Tantôt vaincu, tantôt vainqueur, 
Contre ce rival qu'il ignore 
Il combattit jusqu'à l'aurore... 
Et c'était l'esprit du Seigneur ! 
 
Ainsi dans les ombres du doute 
L'homme, hélas! égaré souvent, 
Se trace à soi-même sa route, 
Et veut voguer contre le vent ; 
ais dans cette lutte insensée, 
Bientôt notre aile terrassée 
Par le souffle qui la combat, 
Sur la terre tombe essoufflée 
Comme la voile désenflée 
Qui tombe et dort le long du mât. 
 
Attendons le souffle suprême ; 
Dans un repos silencieux ; 
Nous ne sommes rien de nous-même 
Qu'un instrument mélodieux ! 
Quand le doigt d'en haut se retire, 
Restons muets comme la lyre 
Qui recueille ses saints transports 
Jusqu'à ce que la main puissante 
Touche la corde frémissante 
Où dorment les divins accords ! 
 
LAMARTINE 
 
Quel merveil y a t il à comptempler la mer? 
L'immense prouesse, c'est d'étre une goutte d'eau et se fondre dans l'océan. 
 
Lorsque le cri d'Alasta retentira à ton oreille, ne differe pas de répondre Ballée.(oui) 
Tu t'es lié avant d'exister par cet engagement; ne manque pas de l'accomplir aujourdhui. 
 
Devant l'éclat de la beauté divine qui dilate l'ame, il n'est resté de l'éternité bienheureuse ni nom, ni trace. 
 
A l'idée de Dieu, l'esprit se se déconcerte, l'ame s'affaise; à cause de Dieu le ciel tourne, la terre chancelle. 
 
Si tu parviens à l'apercevoir, tu perds la sagesse, si tu le vois tout à fait, tu te perds toi même. 
 
Dieu est en effet au dessus de la science et au dessus de l'évidence car rien ne peut donner une idée de sa sainteté majesté. 
 
Le monde visible te vends son néant, mais pour toi prends garde de ne pas vendre Dieu pour rien au monde. 
 
Moustapha est le trésor de la fidélité, le maitre du monde spirituel et du monde temporel; il en est la pleine lune et le centre, le soleil de la loi et l'océan de la certitude. 
Il est le seigneur des deux mondes et le roi de l'univers. 
 
La gloire supéme est de n'être rien en adorant. 
 
Naitre à son heure est une faveur céleste 
Mourir à son heure est une faveur céleste. 
 
Lorsque tu caches cent idoles sous ton froc, pourquoi te montrer soufi devant les hommes. 
 
Quelle belle conception les anciens avaient de la mort; repos des bons, terreur des méchants! 
La mort, c'est la preuve de la vertu. 
 
Mon Amour,ma Foi,ma Loi:le tout dans le Tout 
 
Prenez tout, volez tout, saccagez tout, mais je vous en supplie laisser ma religion, ma foi, mon Amour en paix. 
 
Entre le guide et le guidé,une règle:faire ou ne pas faire 
 
Mohamed n'est pas seulement un méssager;c'est plutot le reflet de DIEU dans l'univers et dans la totalité des possibles 
 
La cage Royale abrite le faucon Loyal 
 
Qui suis je pour former un souhait,mon seul souci est de rendre sans tache mortelle la robe blanche que l'on m'a confiée 
 
Larmes et douleurs du pélerin 
Gages de la réalité du chemin 
Quand le corps rencontre la Plénitude 
Il baignera extasié dans la Béatitude 
 
Pense tu qu'un corps fait de chaire et de sang et pensant peut se mouvoir sans énergie? 
Le secret : L'Ame 
 
Tout est Lui en réalité;l'apparence par sa loi de cause à effet est une preuve pour les uns et une contradiction pour les autres 
 
A proximité de Dieu seul est conscient celui qui parle le langage de l'Amour 
 
Nous sommes des poussiéres d'électrons qui oscillent dans le champ de la félicité éternelle 
 
Le breuvage qu'on prépare pour l'estomac d'un elephant, on saurait le verser dans le gosier d'un fourmi. 
 
Par le paire et l'impaire le cadavre de Dieu s'est muté en faucon royal 
 
Le voyage de la créature vers le créateur est de trois sortes:celle de la forme,celle du contenu et celle de l'essence 
 
A chaque fois qu'un Joseph sort de prison,c'est toute une vie qui en sort honorer 
 
Toute chose dépourvu de sincérité se nomme infidéle 
 
La foi c'est de la mécréance en évolution 
La mécréance c'est de la foi en régréssion 
 
Avec ton vin,qu'importe les accidents extérieurs 
Tu es sur d'entrer en extase avec le bonheur 
 
Dieu est au delà de la forme,son essence au delà du contenu 
 
La foi est la racine à partir duquel s'épanouissent les oeuvres 
 
J'apprends par la science infuse intime 
Ce qui rend les prophétes sobres et sublimes 
 
Les impies,leurs saints sont les idoles et ils sont sortis de la lumiére vers les ténébres 
 
La reuissite c'est le déploiement de la divinité au fond de nous 
 
En réalité nous sommes la divinité déguisée,en nous elle cherche à se matérialiser jusqu'à atteindre sa splendeur 
 
La loi c'est le procéssus par lequel le non-manifesté se manifeste,celui qui transforme l'observateur en observé,le chemin par lequel le réveur manifeste son réve 
 
Soit en paix et tu sauras que je suis Dieu 
 
Il existe dans ce monde un systéme comptable parfait 
 
Il y a un sens caché dérriere chaque événement.Ce sens caché est au service de votre propre évolution 
 
Le passé est une histoire,le futur un mystére,le présent est un don 
 
La nature est une symphonie qui s'orchestre silencieusement dans le coeur ultime de la création 
 
Nous sommes des étres spirituels qui vivons une expérience humaine 
 
Nous sommes des poussiéres d'étoiles roulant et dansant éternellement dans les remous et tourbillons de l'infini 
 
Plus votre amour est large plus vous vous rapprochez de l'unité mystique 
 
Nous sommes naturellement riches car la nature répond à tout les besoins et désirs 
 
Le bien et le mal se trouvent rattachés ensemble;mais le bien est à suivre,le mal à éviter 
 
Que d'ames dévoués ont tenté le chemin 
de porte à porte ils ont sauté de saisons 
de jour et de nuit ils ont cherché le divin 
but de leur foi dans cette drole de maison 
 
Il lui a été révélé des choses que les oulémas n'ont pu imaginés par moment. 
Bouche close s'il ne veux pas devenir le Mansour Helladj de son temps. 
 
De partout retentissent les cloches du départ. 
Heureux celui qui s'est réveillé trés tot, 
Malheureux celui qui s'est endormi lourdement. 
 
Les secrets célestes ont pour amis intimes les ruines térrestres. 
 
Je vois en eux la silouhette de Pharaon, car Moise évolue vers les hauteurs. 
 
Quand les échos viennent d'ailleurs, les larmes de la nostalgie coulent à flots. 
 
Rien n'est stable et c'est ce qui enlaidit l'endroit ou nous vivons. 
 
Soyez beni, mon Dieu qui donne la souffrance comme un devin reméde à nos impuretés. 
 
Dompter la béte féroce qui est en toi, pour qu'il devienne l'agneau de sacrifice du Roi. 
 
Toute douleur engendre une merveille 
toute arrogance est vraiment un deuil 
le premier intérroge Marie, le second 
conte l'histoite de Pharaon. 
 
La porte du royaume de Dieu s'ouvre avec deux clés: celle de la sincérité et celle de la persèverance; elle ignore le visage du pelerin. 
 
En servant l'Homme, je sert Dieu. 
 
Le non manifesté c'est Dieu Seigneur créateur 
Le manifesté c'est le prophète seigneur des hommes. 
 
Toutes les choses qui te procurent du merveilleux sont au dela du visible, du rationnel. 
 
Frapper les portes par le nom et l'amour du Seigneur 
quand elles s'ouvriront, on savourera la joie d'avoir tant patienter. 
 
Y a t il sagesse d'aménager un jardin dans une prison? 
Y a t il danger d'humer l'air des éternelles saisons? 
 
L'esprit humain n'a aucune trace de ton existance; les prophétes eux même se perdent dans la poussiére de ton chemin. 
 
Mais sur quoi repose donc l'air; sur rien, mais rien est rien et tout cela n'est rien. 
Admire l'oeuvre de ce Roi quoiqu'il ne le considére lui même que comme un pur neant. 
 
Demeure en Dieu dans le contentement, tourne comme le ciel par amour pour lui. 
 
Je suis aveuglé par la clarté de la lumière éternelle, viens vaincue o sentence du jugement dernier.g

 

(c) gotts78 - Créé à l'aide de Populus.
Modifié en dernier lieu le 17.10.2014
- Déjà 6779 visites sur ce site!